Georges Mana
Aujourd'hui le1/7/2016, dans la cathedrale de la metropole de la nouvelle Ionie et Philadelphie, les trois Eveques : metropolite KONSTANTINOS , Eveque INNONKENTIOS ET Eveque GABRIEL ont concelebre la fete des Saints Anargyres COSME et DAMIEN mediciens.
Ces deux Saints vécurent vers 284 à Rome, sous le règne de l'empereur Carin. Frères selon la chair, ils l'étaient davantage par leur foi et leur commune résolution, et, brillant dans la nuit de l'erreur païenne par leurs vertus... et leurs actions d'éclat, ils se frayaient un chemin vers le ciel en se faisant ici-bas les intendants de la miséricorde divine. Distribuant sans compter tous leurs biens d'une main généreuse, ils avaient appris l'art de la médecine d'un païen réputé dans la science d'Hippocrate et de Galien, afin de se mettre, à l'imitation du Sauveur Ami des hommes, au service des hommes souffrants. Ils usaient des remèdes et des soins plutôt comme un prétexte, et guérissaient en fait tous les maux des hommes, autant que des animaux, par l'invocation du Nom du Christ, le Médecin des âmes et des corps, qui a pris sur Lui nos faiblesses et a porté nos maladies (cf. Mat. 8:17). Et, refusant de recevoir argent ou offrandes de toute espèce, ils offraient pour prix de la guérison des corps, la foi au Christ, qui procure le salut éternel.
https://www.facebook.com/georges.mana.1
Aujourd'hui le1/7/2016, dans la cathedrale de la metropole de la nouvelle Ionie et Philadelphie, les trois Eveques : metropolite KONSTANTINOS , Eveque INNONKENTIOS ET Eveque GABRIEL ont concelebre la fete des Saints Anargyres COSME et DAMIEN mediciens.
Ces deux Saints vécurent vers 284 à Rome, sous le règne de l'empereur Carin. Frères selon la chair, ils l'étaient davantage par leur foi et leur commune résolution, et, brillant dans la nuit de l'erreur païenne par leurs vertus... et leurs actions d'éclat, ils se frayaient un chemin vers le ciel en se faisant ici-bas les intendants de la miséricorde divine. Distribuant sans compter tous leurs biens d'une main généreuse, ils avaient appris l'art de la médecine d'un païen réputé dans la science d'Hippocrate et de Galien, afin de se mettre, à l'imitation du Sauveur Ami des hommes, au service des hommes souffrants. Ils usaient des remèdes et des soins plutôt comme un prétexte, et guérissaient en fait tous les maux des hommes, autant que des animaux, par l'invocation du Nom du Christ, le Médecin des âmes et des corps, qui a pris sur Lui nos faiblesses et a porté nos maladies (cf. Mat. 8:17). Et, refusant de recevoir argent ou offrandes de toute espèce, ils offraient pour prix de la guérison des corps, la foi au Christ, qui procure le salut éternel.
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